Le narrateur se souvient qu'à l'âge de 6 ans,
il aimait dessiner des "serpents boas". Il a montré ses "chefs
d'œuvre aux grandes personnes" mais celles-ci lui ont conseillé de s'intéresser
à la géographie, à l'histoire, au calcul et à la grammaire. Plus tard il a
appris à piloter des avions, a volé
partout dans le monde. Mais il a vécu seul, sans personne
avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara il y a six
ans.
Il y rencontre le petit
prince qui lui
demande de lui dessiner un mouton. Puis l'aviateur découvre que cet enfant
vient de "l’astéroïde
B 612", une planète "à peine plus grande qu'une maison!"
Chaque jour l'aviateur apprend de nouvelles
choses sur cette planète, sur le départ, sur le
voyage de l'enfant qui lui parle de la
psychologie des adultes, de leur sérieux, des baobabs qui encombrent sa
planète.
Il adore les couchers de soleil et lui parle d'une fleur unique, une rose, dont il
est amoureux. La déception amoureuse l’a
incité à quitter sa planète et à voyager. Il a rencontré, murés dans leur
solitude, un monarque absolu,
un
vaniteux, un
buveur, un
businessman, un allumeur
de réverbères, un géographe écrivant d'énormes livres .
Puis le petit
prince
a débarqué sur la Terre, et c'est encore la solitude qu'il y a rencontrée. Il y
a retrouvé les mêmes personnages que sur les autres
planètes, mais aussi un serpent ne parlant que par énigmes, un désert fleuri de
roses et l'écho.... Puis un renard lui est apparu et
qui voulait que l’enfant l'apprivoise.
Le petit
prince
comprend
qu'il importe d'apprivoiser les êtres, de s'en faire des amis, que le monde
s'ordonne autour de cet être unique par l'amour qu'on lui porte.
Le huitième jour c'est l'heure
de la séparation. Le petit prince souhaite retrouver sa rose. A l’aide du serpent il repart vers son étoile. Le narrateur seul regarde le ciel avec un autre regard.
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